Candidatez à l’un des 3 Trophées PME Réussir avec le numérique

 

J – 4 ! Chefs d’entreprise, candidatez à l’un des 3 Trophées PME Réussir
avec le numérique avant le 2 septembre minuit.

Le lauréat de chaque prix gagnera une dotation personnalisée :

  • Développement à l’international : un séjour au Consumer Electronic
    Show de Las Vegas du 7 au 11 janvier 2019 avec la CPME
  • Formation : une formation au numérique dispensée par notre partenaire
    AGEFOS PME
  • Croissance : 2 pass (incluant l’hébergement et la journée de formation
    sur un thème futuriste) à « The Camp » offert par le groupe VYV
    HARMONIE MUTUELLE

Et les 3 lauréats remporteront une belle visibilité : un reportage Expression
Directe tourné dans leur entreprise et diffusé sur France 3, leur démarche numérique
valorisée dans un communiqué de presse, sur les réseaux sociaux, la newsletter
et le site web de la CPME.

Alors n’attendez plus, candidatez en ligne ici

Faites partie des 9 entreprises pré-sélectionnées sur dossier et venez

pitcher le 26 septembre de 17h à 20h à la CPME

en présence de Mounir Mahjoubi, secrétaire d’Etat chargé du Numérique

et de François Asselin, président de la CPME.

Téléchargez le programme de la remise des prix du 26.09.18 en présence de personnalités
et d’experts du numérique et inscrivez-vous sans attendre à cette soirée exceptionnelle,
le nombre de places est limité.

Merci à nos partenaires 2018

  

 

 

Qu’est-ce que le redressement judiciaire ?

Si votre entreprise est en cessation de paiement, c’est-à-dire dans l’impossibilité de payer ses dettes grâce à son actif, elle doit alors ouvrir une procédure de redressement judiciaire. Qu’est-ce que cela signifie ? Quelles sont les conséquences pour l’entreprise ?

Qu’est-ce que la procédure de redressement judiciaire ?

La procédure de redressement judiciaire concerne les entreprises qui se trouvent en cessation de paiement. Elle est destinée à permettre la poursuite de l’activité de l’entreprise, le maintien de l’emploi et l’apurement du passif.

Lorsque le tribunal prononce le redressement judiciaire d’une entreprise, un bilan économique et social de l’entreprise est effectué.

Un ou plusieurs administrateurs sont alors nommés par le tribunal pour administrer tout ou partie de l’entreprise, seuls ou avec le dirigeant d’entreprise.

Comment ouvrir une procédure de redressement judiciaire ?

L’entreprise doit demander l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire au plus tard dans les 45 jours qui suivent la cessation des paiements, s’il n’y a pas de procédure de conciliation.

Elle doit alors déposer une demande auprès du tribunal compétent :

  • le tribunal de commerce si le débiteur exerce une activité commerciale ou artisanale
  • le tribunal de grande instance pour les autres cas

A savoir

Une procédure de redressement judiciaire peut également être déposée par un créancier ou à la demande du procureur de la République, sauf si une procédure de conciliation est en cours.

Quels sont les conséquences d’une ouverture de procédure de redressement judiciaire ?

Pour les créanciers

Lorsqu’une entreprise est en redressement judiciaire, il y a suspension des poursuites. De plus, le cours de la majorité des intérêts et majorations est arrêté.

Pour le dirigeant d’entreprise

Le juge fixe la rémunération afférente aux fonctions exercées par le dirigeant d’entreprise.

Pour les salariés

L’administrateur peut être autorisé par le juge à procéder à des licenciements Lorsque des licenciements pour motif économique présentent un caractère urgent, inévitable et indispensable pendant la période d’observation, l’administrateur peut être autorisé par le juge à procéder à ces licenciements.

Quelles sont les issues possibles à une procédure de redressement judiciaire ?

La période d’observation permet de déterminer l’avenir de l’entreprise. Cela peut être :

  • la mise en place d’un plan de redressement d’une durée maximale de 10 ans. Le plan précise notamment les licenciements qui doivent intervenir dans le délai d’un mois après le jugement.
  • la fin du redressement judiciaire, s’il apparaît que l’entreprise dispose des sommes suffisantes pour désintéresser les créanciers et acquitter les frais et les dettes afférents à la procédure
  • la cession partielle ou totale de l’activité
  • la prononciation de la liquidation judiciaire si le redressement est manifestement impossible

Sources : Economie.gouv.

Sécurité de vos données : qu’est-ce que l’attaque par hameçonnage ciblé (spearphishing) ?

Entreprises, vous connaissez le hameçonnage ou « phishing » mais connaissez-vous le hameçonnage ciblé (spearphishing) qui consiste à usurper l’identité d’un de vos contacts pour vous piéger ? Le point sur cette pratique et nos conseils pour ne pas vous faire piéger.

Qu’est-ce que le spearphishing ?

Selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), le hameçonnage ciblé ou spearphishing « repose généralement sur une usurpation de l’identité de l’expéditeur, et procède par ingénierie sociale forte afin de lier l’objet du courriel et le corps du message à l’activité de la personne ou de l’organisation ciblée ».

En d’autres termes, contrairement aux classiques tentatives de hameçonnage (ou phishing), le pirate tente de se faire passer pour une personne, une société ou un établissement avec lequel vous avez l’habitude de travailler pour vous faire baisser votre garde et vous pousser à ouvrir une pièce jointe corrompue ou un lien vers un site web malveillant.

Quels sont les risques si mon ordinateur est infecté ?

Quelles précautions prendre pour éviter les attaques par hameçonnage ciblé ?

lire la suite de l’article sur : Economie.gouv

Prélèvement à la source : Bercy fait un geste pour les TPE

Les entreprises de moins de 20 salariés vont pouvoir utiliser le dispositif titre emploi service entreprise (Tese), jusqu’à présent dédié au prélèvement des cotisations Urssaf des TPE, pour le prélèvement de l’impôt à la source, a indiqué Bercy le 16 août. « Dès l’entrée en vigueur de la réforme en 2019, votre centre Tese assurera le prélèvement de l’impôt à la source pour le compte de ses adhérents. À partir des éléments reçus par l’administration fiscale, votre centre Tese calculera directement le montant à prélever sur le revenu d’activité. Il vous communiquera ensuite le montant du salaire net après imposition que vous devrez verser à votre salarié », note le site internet du Tese. Source AFP

 

Sources: Liaisons sociales Quotidien – L’actualité, Nº 17633

Lutte contre le vol : la CPME propose de « décriminaliser » les vols simples

 

Au cours de l’été les vols se multiplient, notamment dans les commerces. Les chefs d’entreprise sont bien souvent démunis et les textes actuels ne leur permettent pas toujours, même en cas de flagrant délit, de voir sanctionner les voleurs.

Dans ce contexte, la CPME propose quelques mesures simples de nature à améliorer les choses.

Tout d’abord, pour ce qui est du vol à l‘étalage, la Confédération des PME souhaite « décriminaliser » le vol simple et mettre en place une amende forfaitaire. En effet, le témoignage du commerçant, de l’agent de sécurité ou l’enregistrement vidéo sont aujourd’hui irrecevables face à un voleur qui nie les faits, pourtant bien réels. Il conviendrait également d’accréditer les agents de sécurité et les matériels de surveillance pour donner leur valeur probatoire. Mieux vaut une sanction moindre mais systématiquement appliquée qu’une sanction en apparence plus forte mais en réalité inappliquée.

Par ailleurs, pour lutter contre les vols sur chantiers, la CPME propose d’inclure les chantiers situés en zones sensibles dans les patrouilles de surveillance des forces de l’ordre et de connecter les matériels de surveillance directement au réseau local de policier ou de gendarme.

Enfin, les liens entre les « référents sureté » départementaux et les chefs d’entreprise doivent être renforcés.

Propositions de la CPME pour lutter contre les vols

 

Chef d’entreprise, quelles causes peuvent engager votre responsabilité civile ou pénale ?

En tant que chef d’entreprise, vous disposez d’un grand nombre de prérogatives. Mais attention ! Votre responsabilité civile ou pénale peut être engagée. Pour quelles raisons ?

  • Quelle est la différence entre la responsabilité civile et pénale ?
  • Quelles fautes peuvent mettre en cause la responsabilité civile du dirigeant d’entreprise ?
  • Quelles infractions peuvent mettre en cause la responsabilité pénale du dirigeant d’entreprise ?

pour en savoir plus

Sources: Economie.gouv

COMMUNIQUE DE PRESSE   

A l’instar des particuliers employeurs, la CPME réclame un report d’un an pour le prélèvement à la source (PAS)

La valse-hésitation du gouvernement concernant les particuliers employeurs qui viennent de se voir accorder un report supplémentaire d’un an pour le prélèvement à la source (PAS), démontre, une fois encore, le caractère inachevé de cette réforme dont la mise en place risque de s’avérer désastreuse pour les entreprises.

Limiter ce report aux seuls particuliers employeurs serait se voiler la face. Il est maintenant temps de le reconnaître :  confier le prélèvement à la source aux employeurs est une erreur.

Les entreprises ne sont pas prêtes à jouer les percepteurs. Et elles ne sont pas les seules : les éditeurs de logiciels de paie sont débordés, les experts comptables s’inquiètent et… visiblement Bercy ne semble pas mieux loti.

Quoiqu’il en soit la CPME réclame une équivalence de traitement entre les différentes catégories d’employeurs. Les TPE/PME doivent donc, elles aussi, se voir octroyer un délai supplémentaire d’un an, ce qui permettra, le cas échéant, d’examiner d’autres moyens de mettre en œuvre le PAS sans passer par l’employeur.

Quant à imaginer que les salariés des particuliers à domicile puissent bénéficier d’une année d’exonération d’impôt tandis que les personnes exerçant le même métier pour une entreprise de services à la personne y seraient assujetties, il y aurait là une rupture manifeste d’égalité devant l’impôt. Là encore la CPME réclame une équivalence de traitement.

sources: communiqué de presse CPME 13/07/2018

Un Pacte pour doper les TPE et PME

Le gouvernement annonce un ensemble de mesures favorables aux petites structures pour les aider à grandir plus sereinement.

  • Simplification de la création d’entreprise
  • Financement de l’économie
  • Développement de l’intéressement et de la participation
  • Réduction des effets de seuil
  • Reconnaissance du droit à l’échec

Présentée en conseil des ministres en juin, la loi Pacte doit être adoptée avant la fin de l’année pour entrer en application début 2019.

 

sources: Harmony Mutuelle