Afin de valoriser les initiatives novatrices de PME, la CPME lance le concours PME créatives !

Savoir s’entourer de collaborateurs imaginatifs, trouver des solutions nouvelles pour conquérir des parts de marchés, lancer des produits ou des services qui vont faire la différence… Afin de mettre sous les projecteurs les parcours exemplaires de PME créatives, la CPME lance ce concours qui s’achèvera par une remise de prix au Palais Brongniart le 12 juin 2018 lors du forum PME ! by CPME.

Le concours est annuel et s’adresse aux PME patrimoniales en France et pays francophones qui concourront à l’un des 4 prix :
Créativité organisationnelle : la PME met en place des ressources humaines et/ou une méthode de management novatrices qui renforcent l’efficacité de l’organisation
Créativité produit : la PME met sur le marché un produit résolument original en dehors des codes classiques
Créativité service : la PME lance un service radicalement différenciant de la concurrence
Créativité marketing : la PME met en œuvre une méthode de commercialisation ou une campagne de communication disruptive qui répond mieux aux besoins des prospects.

Le jury, composé de dirigeants de PME, représentants de la CPME et d’entreprises qui parrainent le concours, récompensera un lauréat par catégorie, sur deux critères : l’originalité de l’idée/produit/service/démarche et les capacités entrepreneuriales mises en œuvre pour développer cette idée.

Les 4 lauréats seront annoncés en clôture du forum PME ! lors de la remise des prix. Chaque PME lauréate se verra offrir un stand sur le forum PME ! 2019 ; une adhésion d’une année à la CPME pour bénéficier de ses services d’accompagnement ; la communication sur sa nomination en tant que lauréat du concours.

Concours, ateliers, plénières, conférences… Le 12 juin 2018 le forum PME ! attend 8000 visiteurs professionnels qui iront à la rencontre des 150 partenaires et exposants : grands groupes, ETI, TPE-PME, start-ups, institutions, fédérations… Retrouvez toute l’information sur l’événement sur www.pmebycpme.com.

Recruter un stagiaire : quelles sont les règles financières à respecter ?

Les employeurs qui accueillent un stagiaire sont tenus de respecter la réglementation afin de lui permettre d’effectuer ses tâches dans les meilleures conditions, aussi bien concernant les missions qui lui sont assignées que concernant ses conditions de travail. Mais quelles sont les obligations de l’employeur sur les volets financiers de cette réglementation (gratification, prise en charge de frais divers, etc.) ?

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Le nombre de salariés détachés est en forte hausse en 2017

En 2017, la France comptait plus d’un demi-million de travailleurs détachés légaux, un chiffre en nette hausse (+ 46 %) par rapport à 2016, a révèlé Le Monde (06-02), citant un « bilan intermédiaire du plan national de lutte contre le travail illégal ». Néanmoins, ce bond est « à prendre avec précaution », souligne le document, car il « coïncide avec la mise en place d’une nouvelle base de données ». Auparavant, les informations remontaient « parfois incomplètes » des administrations régionales du ministère du Travail.

L’intérim est le premier secteur concerné, avec 24 % des détachements, devant le bâtiment (20 %) et l’industrie (18 %). Les Portugais sont la nationalité la plus détachée en France, avec « un peu plus de 74 000 » salariés, devant les Polonais (61 000), les Allemands (45 000) et les Roumains (44 000).

Quelque 37 000 Français sont également détachés en France, généralement depuis des pays frontaliers. Parallèlement, les contrôles pour lutter contre la fraude au détachement ont baissé, avec 965 interventions en moyenne par mois, contre 1 330 en 2016. Cela a débouché sur « un peu plus de 1 000 » amendes prononcées en 2017 pour un montant d’« un peu moins de 6 millions d’€ s ». En outre, l’État a procédé à « trois fermetures d’établissement » et « 11 suspensions de prestations de service ».

  • sociales Quotidien – L’actualité, Nº 17505, Section Acteurs, débats, événements, 7 février 2018

L’enjeu de la détaxation des heures supplémentaires ne se limite pas au pouvoir d’achat

Si l’économie française connaît actuellement un rebond de croissance, beaucoup d’entreprises peinent à trouver des salariés qualifiés et opérationnels dont ils ont besoin rapidement.

Dans le même temps, la pression sur les prix est telle que les entreprises ne peuvent se permettre des augmentations de charges obérant leur compétitivité.

Dans ce contexte, augmenter le nombre des heures supplémentaires est une des solutions pour accompagner la reprise actuelle.

La CPME est donc extrêmement favorable à un retour des heures supplémentaires détaxées dans les PME, à condition, bien entendu, que la réduction de cotisations sociales ne se limite pas aux seules cotisations salariales mais comprenne également, comme c’est le cas aujourd’hui dans les entreprises de moins de 20 salariés, une déduction forfaitaire des cotisations patronales de sécurité sociale.

Une telle mesure mise en place en 2007 avait permis, en un an, d’augmenter le nombre d’heures supplémentaires de 53%, dans les entreprises de 20 à 49 salariés.

L’enjeu de la détaxation des heures supplémentaires ne saurait donc se limiter à la question du pouvoir d’achat des salariés.

La CPME 13 déploie de nouvelles solutions pour vos problèmes juridiques

Cher(e) adhérent(e),

Depuis sa création, la CPME13 s’engage dans la défense et la performance des TPE/PME du territoire. En 2018, elle continue plus que jamais en étant au cœur de l’action en vous proposant de nombreuses « cré’activtés » ! Ainsi, nous avons le plaisir de vous annoncer la signature du partenariat entre le Barreau des Avocats de Marseille et la CPME13.

Concrètement nous vous offrons une assistance via des permanences juridiquesafin de toujours mieux vous accompagner. A la barre de ces permanences, un pool d’avocats experts de haut niveau spécialisés dans le traitement de cas relatifs aux chefs d’entreprise.

Un numéro unique pour s’inscrire : 04 88 92 24 64

Ce partenariat vous permet d’accéder à des permanences juridiques en droit social et en droit des affaires tous les 2e (droit social) et 4e vendredi (droit des affaires) de chaque mois. Ces entretiens privés et confidentiels d’une durée de 45 minutes visent à donner des renseignements oraux et à alerter. Aucun document n’est rédigé ou corrigé pour des questions de responsabilités professionnelles.

La permanence est assurée à partir du 9 février 2018 (de 9h à 12h) au siège de la CPME13 : Parc Lavoisier – Bât. B, 99 avenue des Aygalades, 13015 Marseille.

Vous êtes intéressé(e) ? Prenez rendez-vous dès maintenant en appelant le numéro unique de la CPME13 :  04 88 92 24 64

Le Comité Social et Economique (CSE)

L’ordonnance n° 2017-1386 du 22 septembre 2017 dite « Macron » crée une nouvelle instance représentative du personnel, le Comité Social et Economique (CSE). Les délégués du personnel, le comité d’entreprise et le comité d’hygiène de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) seront remplacés par le CSE au plus tard le 1er janvier 2020.

Les attributions du CSE varieront selon que l’entreprise compte plus ou moins 50 salariés.

Présentation de cette nouvelle instance :

La mise en place du CSE
La mise en place du CSE est obligatoire si l’effectif de 11 salariés est atteint pendant 12 mois consécutifs.
Le seuil de 50 salariés, atteint pendant 12 mois consécutif, n’est plus un seuil de mise en place mais de modification des attributions du CSE.
L’ordonnance prévoit une instauration progressive du CSE dans l’optique d’une mise en place généralisée au 1er janvier 2020.
Pour en savoir plus : cliquez ici
Les élections du CSE
Comme pour les délégués du personnel et le comité d’entreprise, l’employeur doit organiser des élections professionnelles pour mettre en place le CSE.
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La composition du CSE
Le CSE comprend l’employeur et une délégation du personnel composée d’un nombre égal de titulaires et de suppléants.
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Les attributions du CSE
Les attributions du CSE sont différentes selon le seuil d’effectif de 11 ou de 50 salariés.
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Le fonctionnement du CSE
Les règles de fonctionnement diffèrent selon la taille de l’entreprise.
Le rôle du suppléant est modifié, il n’assiste aux réunions qu’en l’absence du titulaire.
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La Commission Santé Sécurité Conditions de Travail (SSCT)
Pour pallier à la disparition du CHSCT qui était obligatoire dans les entreprises de 50 salariés et plus, l’ordonnance prévoit la mise en place, obligatoire dans certains cas seulement, d’une commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) au sein du CSE.
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Le Conseil d’Entreprise
Par accord d’entreprise majoritaire, le CSE peut être doté de la capacité à négocier des accords collectifs.
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Audition par la mission Notat-Senard sur les entreprises et l’intérêt général

La CPME entendue sur l’objet social de l’entreprise

Nicole Notat et Jean-Dominique Senard ont été mandatés par 4 ministres du gouvernement pour prolonger les travaux du projet de loi PACTE sur l’engagement sociétal des entreprises. Lors de cette audition, la CPME a rappelé sa position sur l’objet social des entreprises et ses actions pour valoriser les démarches RSE des PME

Consultez ici la synthèse de cette position