A l’occasion de sa visite officielle en France, le Chef du Gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a souhaité échanger à nouveau avec le Président de la CPME pour définir des axes de travail. 

En présence des ministres de l’Industrie et des PME, et du Développement, François Asselin et le Premier ministre de Tunisie ont planifié des actions pour favoriser l’accès des PME au marché tunisien, et plus largement à l’Afrique subsaharienne. Ce programme de travail s’inscrit dans le prolongement de l’accord de partenariat entre la CPME et son homologue CONECT, présidé par l’entrepreneur Tarak Chérif. > En savoir plus 

Epargne salariale

A l’occasion de sa visite officielle en France, le Chef du Gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a souhaité échanger à nouveau avec le Président de la CPME pour définir des axes de travail. 
En présence des ministres de l’Industrie et des PME, et du Développement, François Asselin et le Premier ministre de Tunisie ont planifié des actions pour favoriser l’accès des PME au marché tunisien, et plus largement à l’Afrique subsaharienne. Ce programme de travail s’inscrit dans le prolongement de l’accord de partenariat entre la CPME et son homologue CONECT, présidé par l’entrepreneur Tarak Chérif. > En savoir plus 

Cap sur la Tunisie

A l’occasion de sa visite officielle en France, le Chef du Gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a souhaité échanger à nouveau avec le Président de la CPME pour définir des axes de travail. 

En présence des ministres de l’Industrie et des PME, et du Développement, François Asselin et le Premier ministre de Tunisie ont planifié des actions pour favoriser l’accès des PME au marché tunisien, et plus largement à l’Afrique subsaharienne. Ce programme de travail s’inscrit dans le prolongement de l’accord de partenariat entre la CPME et son homologue CONECT, présidé par l’entrepreneur Tarak Chérif. > En savoir plus 

Assurance-chômage : une rupture à torts partagés

La CPME déplore l’échec de la négociation sur la réforme de l’assurance chômage. Cette rupture à torts partagés est d’autant plus regrettable qu’elle intervient dans une période où la nécessité de réformer le dispositif actuel est une évidence. Nul ne peut se satisfaire d’une situation qui voit des millions de demandeurs d’emplois indemnisés tandis que les entreprises peinent à recruter.

Plutôt que de pénaliser les entreprises à travers un bonus/malus destructeur pour l’emploi, la Confédération des PME envisageait des mesures financières compensant pour partie les situations de précarité que connaissent certains salariés. Elle n’a pas été en capacité de se faire entendre alors même que ses propositions auraient pourtant permis d’améliorer les conditions salariales des personnes concernées par les CDD récurrents. Le risque est aujourd’hui bien réel de voir le gouvernement s’engager dans une voie sans issue. Si tel devait être le cas il en assumerait les conséquences sur l’emploi.

Par ailleurs, le refus syndical de prendre en compte la réalité de la situation financière du régime qui s’élève, faut-il le rappeler, à plus de 30 milliards € de dettes cumulées est un non-sens. Face à une telle situation, il n’y a pourtant d’autre choix que de réagir.

Il est enfin à noter que les maladresses de l’exécutif, dans un contexte social tendu, n’ont pas favorisé la sérénité des débats.

La CPME appelle maintenant à refonder le paritarisme. Responsabilité, indépendance et transparence doivent être les 3 piliers de ce nouveau contrat social que la CPME propose.

A défaut, et si rien ne change, les mêmes maux produisant les mêmes effets, il y a fort à parier que le principe même de la négociation interprofessionnelle ait vécu.

Loi Pacte

Mercredi 13 février, François Asselin a rencontré les députés Olivia Grégoire et Roland Lescure. 

Respectivement Présidente de la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi et Rapporteur général du texte, le Président Asselin a rappelé les propositions portées par la CPME en vue des dernières discussions avant l’adoption du texte. En savoir plus

La catastrophe guette le petit commerce

Samedi après samedi la situation devient de plus en plus catastrophique pour des milliers de commerçants à travers tout le territoire. Pour éviter les dégradations et pillages nombre d’entre eux préfèrent baisser le rideau se privant ainsi de ce chiffre d’affaires dont ils ont tant besoin. D’autres, pourtant situés à l’écart des zones de manifestations, constatent une baisse de fréquentation.

Le chiffre d’affaires perdu ne se rattrape pas. Les dispositifs de soutien mis en place par le gouvernement n’y changent malheureusement rien.

Aujourd’hui les résultats sont là : 70 000 personnes sont en activité partielle, plus de 5000 établissements sont concernés. Et dans 93% des cas il s’agit de PME.

Maintenant il est temps que cela cesse.

 

Les commerçants ne sont en rien responsables de la situation actuelle. Eux aussi sont excédés par les taxes et les impôts. Eux aussi sont victimes de réglementations tatillonnes qui les étouffent. Ceux qui manifestent doivent comprendre qu’ils seront les premiers à subir les conséquences de la disparition programmée de ces milliers de commerçants de proximité condamnés, de leur fait, à une double peine.