Pour sécuriser les paiements vers l’étranger et soutenir le crédit interentreprises, l’Etat a décidé de prolonger le dispositif de soutien aux exportations, Cap Francexport, jusqu…
Sommet social : François Asselin à l’Elysée le 6 juillet
Le président de la République a reçu mardi les huit dirigeants syndicaux (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC) et patronaux (CPME, MEDEF, U2P) pendant 3 heures, pour évoquer la relance…
Résultats de la représentativité patronale : la CPME, première organisation patronale française
La loi du 05 mars 2014 a inséré dans le code du travail un article L 2152-5, complété par un décret du 10 juin 2015 précisant les conditions et modalités selon lesquelles est mesurée l’audience des organisations professionnelles d’employeurs, notamment au niveau national et interprofessionnel. Cette mesure, attestée par un Commissaire aux Comptes (CAC), s’effectue sous le contrôle de la Direction Générale du Travail (DGT). Elle intervient tous les 4 ans. Le résultat du 1er cycle date de 2017. Celui du 2e cycle a été dévoilé au HCDS du 7 juillet.
Selon les résultats dévoilés ce jour au Haut Conseil du Dialogue Social (HCDS), la CPME est désormais la première organisation patronale française.
- La Confédération des PME compte officiellement 243 397 entreprises adhérentes (144 939 en 2017).
Ce chiffre est en augmentation de près de 70% par rapport à la dernière mesure d’audience datant de 2017.
Il est à noter qu’avec 124 131 employeurs, la CPME est l’organisation interprofessionnelle qui regroupe le plus grand nombre « d’entreprises employeurs ».
- Les adhérents de la CPME emploient 4 044 821 salariés (3 010 876 en 2017).
Ce chiffre est en augmentation de près de 35% par rapport à la dernière mesure d’audience datant de 2017.
Ces excellents résultats renforcent la légitimité de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME), plus que jamais incontournable sur le champ patronal. La forte poussée de la CPME est la reconnaissance de la qualité du travail accompli et des actions menées ces dernières années au service des entreprises françaises et de ceux qui en sont à la tête.
La CPME prend la première place des organisations patronales françaises en ce qui concerne le nombre des entreprises adhérentes, critère essentiel pour déterminer la représentativité réelle d’une organisation patronale. Avec 243 397 entreprises adhérentes, elle distance largement le MEDEF (125 929 adhérents) et l’U2P.
Communiqué de Presse le 7 juillet 2021
La CPME en action face à la flambée des cyberattaques visant les PME
La protection cyber est un enjeu majeur pour les PME qui sont la cible de cyberattaques de plus en plus fréquentes. Premier type d’attaque dont elles sont victimes : les…
Eric Chevée élu président de CESER de France
Chef d’entreprise dans le commerce d’ameublement à Chartres depuis trente ans, Eric Chevée est vice-président de la CPME en charge des Affaires sociales et président du Conseil…
La portabilité des garanties santé et prévoyance
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Vos rendez-vous export CPME en juin
Chefs d’entreprise, la CPME vous propose 2 rendez-vous digitaux pour doper la croissance de votre entreprise à l’international.
Crise des matières premières : propositions CPME et premières réponses du gouvernement
Après une année 2020 bouleversée par la crise sanitaire, la relance de l’économie française est perturbée depuis plusieurs mois par des difficultés d’approvisionnement et l…
Loi Climat et résilience : plusieurs dispositions inapplicables en l’état
Alors que le Sénat attaque l’examen en première lecture du projet de loi Climat et résilience, la CPME insiste sur plusieurs dispositions qu’elle juge inapplicables en l’état.
Ainsi l’obligation, sans aucune étude d’impact préalable, de mise en place des Zones à Faibles Emissions mobilité (ZFE-m) étendues aux agglomérations métropolitaines de plus de 150 000 habitants et aux véhicules utilitaires légers d’ici le 31 décembre 2024, risque concrètement de se traduire par une impossibilité d’accès aux centres-villes pour les artisans et commerçants, dans l’incapacité d’effectuer des livraisons ou d’accéder aux chantiers. La mesure signerait, par exemple, la disparition des marchés non sédentaires dans les zones concernées.
Il conviendrait, à tout le moins, que la mise en place des ZFE tienne compte de l’offre des constructeurs français existante pour les véhicules propres, mais également de l’état de déploiement du réseau d’installation de recharges et d’avitaillement. Simple question de bon sens à se poser avant l’adoption du texte, pour adapter le calendrier à la réalité.
De même, l’obligation d’affichage relatif à l’impact environnemental des produits et services est prématurée, dans la mesure où l’expérimentation en cours n’a même pas fait l’objet d’un bilan. Il serait logique et cohérent qu’une telle mesure, qui va nécessairement peser sur les entreprises et notamment les plus petites d’entre elles, se prenne au niveau de l’Union européenne, ne serait-ce que pour déterminer une méthodologie commune. Là encore, simple question de bon sens.
Si la CPME partage l’objectif de décarbonation de l’économie française, elle souligne que cela ne peut se faire qu’en accompagnant les acteurs économiques que sont les TPE-PME. A défaut, ce sont les Français qui en pâtiront dans leur vie quotidienne.
Communiqué de Presse le 14 juin 2021