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Arrêts maladie Covid-19 : fin du dispositif d’indemnisation dérogatoire
À compter du 1er février 2023, les assurés testés positifs au Covid-19, et dans l’impossibilité de poursuivre leur activité professionnelle, ne pourront plus se prévaloir que du…
La CPME décrypte et formule des propositions pour la réforme des retraites
Dans une tribune qu’il a signée dans le Journal du Dimanche du 29 janvier, François Asselin a proposé des solutions sur le sujet fondamental de l’emploi des seniors. Mais les…
Maladie professionnelle & faute inexcusable de l’employeur : revirement de la Cour de cassation
Par deux arrêts rendus en assemblée plénière le 20 janvier dernier, la Cour de cassation opère un revirement de jurisprudence quant à l’indemnisation des victimes, en l’occurrence…
Guichet unique : comment pallier les difficultés de mise en route ?
Porte d’entrée de toutes les déclarations administratives des entreprises, un nouveau guichet unique en ligne a été lancé par le gouvernement, le 1er janvier 2023. Malgré les…
Prix de l’énergie : l’enlisement n’est plus acceptable
La forte remontée du nombre de défaillances d’entreprises a, sans aucun doute possible, un lien direct avec l’explosion des prix de l’énergie.
Pour certaines entreprises, et c’est ce que répète la CPME depuis plusieurs mois, les dispositifs mis en place par le gouvernement ne sont malheureusement pas suffisants. Et leur segmentation en fonction de la taille de l’entreprise, de la puissance du compteur ou du secteur d’activité, ne contribue pas à clarifier la situation.
Dans ce contexte, l’initiative de TotalEnergies qui s’est engagée à permettre aux PME « qui ont signé à un tarif trop élevé » de renégocier leur contrat pour parvenir à un prix moyen de 280 €/MWh, est la bienvenue. Si ce prix reste élevé, les PME concernées bénéficieront néanmoins de la même visibilité que celle offerte aux TPE dont le compteur excède la puissance de 36 kVA. Et cela contribuera à mettre fin à certaines distorsions de concurrence, uniquement dues au nombre de salariés employés ou à la date de signature du contrat.
La CPME demande, a minima, à l’ensemble des énergéticiens et notamment à EDF, de prendre le même engagement.
Mais pour la Confédération des PME, il faut aller plus loin : toutes les PME devraient pouvoir résilier sans frais leur contrat de fourniture d’électricité, selon une périodicité et des modalités à définir.
Et il faut surtout faire en sorte qu’aboutissent enfin les discussions européennes sur le marché de l’électricité. L’enlisement n’est plus acceptable.
Il n’est ni logique ni compréhensible qu’une entreprise puisse, par exemple, ce jeudi 19 janvier 2023 payer son électricité 500 €/MWh alors que son cours en France s’établissait à 4h, à moins de 150 € le MWh (source : RTE). Et comment expliquer que ce même jour à la même heure, le prix de ce même MWh est de moins de 25 € chez nos voisins espagnols, au sein-même de l’espace européen ? Va-t-on encore accepter cela longtemps ?
COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 23 janvier 2023
Vol à l’étalage : la CPME réclame la création d’une infraction spéficique, punie par contravention
Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les vols à l’étalage ont bondi de 14% en un an.
Selon une enquête CPME, déjà en 2018, 3 commerçants sur 4 déclaraient avoir été victime de vol ou de tentative de vol.
Or, à ce jour, il n’existe pas d’infraction spécifique caractérisant le vol à l’étalage, assimilé au vol simple en droit français. La sanction de ce délit pénal nécessite une décision de justice, ce qui implique une lourdeur administrative et des délais incompressibles. De plus, la condamnation est rarement dissuasive pour l’auteur de l’infraction.
Découragés, les commerçants renoncent donc souvent à déposer plainte.
Face à cette situation, depuis plusieurs années la CPME réclame, en vain, l’insertion dans le code pénal d’une infraction spécifique de « vol à l’étalage », punie par une contravention, sans qu’il soit besoin de passer devant le juge.
Si un flagrant délit n’a pu être constaté par les forces de l’ordre, ce qui est le cas le plus fréquent, les agents privés de sécurité pourraient bénéficier d’un agrément délivré par le procureur de la République, afin que leur parole prévale sur celle de l’auteur présumé de l’infraction. Ils seraient ainsi en mesure de dresser une contravention.
De plus, le matériel de vidéosurveillance pourrait faire l’objet d’une certification, à l’instar de celle existante pour les logiciels de caisse, afin que les images puissent être utilisées auprès des forces de l’ordre comme preuve de l’infraction de vol à l’étalage, et ce afin de permettre, là encore, de dresser un procès-verbal.
Il est maintenant temps d’agir.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 20 janvier 2023
La Coopération agricole rejoint la CPME
La CPME se réjouit d’annoncer l’adhésion de La Coopération Agricole. Elle fédère les 2 100 coopératives agricoles et agroalimentaires françaises dont 93% sont des TPE-PME, qui…
Loi de finances pour 2023 : visualisez l’ensemble des mesures impactant les PME
Afin de vous faciliter l’accès aux principales mesures qui impactent les TPE-PME et leurs dirigeants dans cette loi, nous les avons synthétisées et décryptées dans un tableau.