Les hausses d’impôts ne règleraient pas le problème du déficit public

La CPME tient à rappeler avec force que la France, avec 43,2 % du PIB, est championne d’Europe des prélèvements obligatoires.

Par ailleurs, et le ministre de l’Economie, Antoine Armand, l’a rappelé ce matin, « la France a un des pires déficits de son histoire ».

Dès lors, imaginer que des hausses d’impôts régleraient le problème serait une profonde erreur. Il n’y a pas d’autre issue que de réduire massivement les dépenses publiques. On ne peut pas évoquer concrètement des hausses d’impôts sur le secteur privé et, virtuellement, des baisses de dépenses publiques.